Derrière le voyage, nombre d’entre nous, ont une vision d’aventure et de danger qui confère au voyageant une aura exceptionnelle. Il se trouvera affubler du titre secret de grand découvreur. Certain le jalouseront, d’autre l’idolâtrons mais au final pour quiconque à eut le plaisir de voyager loin et longtemps, a compris que la temps des aventuriers a disparu depuis longtemps.
Le voyage est devenu un produit de consommation comme les autres mais pas pour toutes les bourses. Il y a un certain entre soi des classes moyennes supérieurs à pouvoir profiter des miettes des richesses de la mondialisation.
Alors que la captation de ces richesses est réservée au 1 %, ils ruissellent quelques morceaux d’or dont les esclaves salariés ou les affranchis libéraux, qui sont les rouages nécessaires pour faire tourner la machine à créer la richesse, peuvent profiter, avec parcimonie, il va s’en dire.
Si par malheur, l’un deux voulait s’affranchir vraiment des contraintes, il se trouvait porter au pilori par les DRHs des agents globalisants. DRH, eux mêmes esclaves serviles, choisies pour leur propension a être satisfait de leur servitude.
Le tourisme n’est que la carotte au bout du bâton. La mondialisation n’est qu’une guerre sous une forme nouvelle. Les rapports commerciaux ne sont que la résultante des rapports de force entre les protagonistes.
Il n’y a pas d’enrichissement mutuel, il y a la spoliation des forces vives du plus faible vers le plus fort. Tout le reste n’est que de l’habillement marketing, un mensonge universel savamment orchestré par l’un des pilier du système : les médias.
L’auteur de ce texte a bien compris la mascarade et les mensonges qui en découlent. Il faut lire les tartuffes à la fin qui commente pour comprendre le niveau de désinformation de certain et comment ils gobent certaine réalité frelaté, pauvre type heureux du système qui vont se réveiller un matin « chypriotisé ».
On va bien rire quand ca va se produire !!!
